Partenariats et collaborations

La revue Marketing Territorial est indépendante et elle repose sur la seule motivation des checheurs en SHS, en tant qu'individu. Aucune institution n'est en tutelle du contenu scientifique de RMT. Le comité éditorial est mouvant selon l'implication des chercheurs dans le domaine du marketing territorial, notamment leur contribution à la revue, tant pour les articles que pour les autres formes de productions scientifiques.

Deux entités sont partenaires en tant qu'appui technique et support institutionnel :

- l'IRIHS - Institut de Recherche Interdisciplinaire Homme Société - est la structure de recherche fédérative de l'université de Rouen. Le personnel de l'institut propose un appui informatique pour le développement et le maintien de la revue. Cette aide correspond au rôle de soutien des recherches interdisciplinaires en SHS, positionnement dans lequel s'inscrit RMT.

- le NIMEC - laboratoire de recherche de l'université de Rouen en sciences de gestion - est l'entité référente légale. Le directeur de la publication est un chercheur affilié à ce laboratoire. Parmi les différrentes sources de production scientifique qui peuvent alimenter cette revue thématique, les JNRC sont un événement annuel porté par le NIMEC.

La revue Marketing Territorial accueille tout type d'écrit qui correspond à la ligne éditoriale. Individuellement ou collectivement, les chercheurs sont invités à proposer à l'évaluation scientifique une production scientifique. RMT peut recevoir de la connaissance issues de plusieurs organisations qui génèrent de l'activité scientifique présentée oralement. Ces travaux, proposés dans des colloques, peuvent ensuite être diffusés en français dans la revue en ligne. Concrètement, ces événements scientifiques accueillent des sessions orientées sur le thème du marketing territorial ou des thèmes plus précis ou connexes (marketing public, attractivité, mega event, flagship, terroir et gastronomie, destination, territoire et entreprise, projet de territoire et projet urbain, production urbaine, management public, jeux d'échelle, consommation identitaire... entre autres) ou encore des thèmes à définir ensemble au gré de l'évolution sémantique de la recherche en SHS.

Les sessions de plusieurs événements scientifiques annuels d'envergure tiennent donc un rôle nourissant pour RMT dès lors que les communicants acceptent de proposer leur texte et que le processus d'évaluation de la revue, toujours traité de manière anonyme, est favorable à une publication. On retrouve par exemple :

• des sessions de l'AIRMAP (management public) ou de son corollaire européen EGPA. En 2015 à Lyon et en 2017 à Nice, les marques Territoire et le marketing public dans sa dimension territoriale ont été étudié. En 2016 à Utrecht ou en 2018 à Lausanne, une comparaison internationale est possible dans des sessions en anglais.
  

• des sessions de l'ASRDLF (sciences régionales) ou des doctorales de l'ASRDLF. En 2018 à Caen, une session sur les agences de développement et sur l'attractivité ont amené des questionnements renouvelés.
  

• des sessions du CIST (sciences du territoire). En 2018 à Rouen, une session dédiée au marketing territorial et une autre dédiée aux valeurs du territoire ont permis de proposer de nouveaux terrains d'étude.
  

• des communication des JNRC (consumer culture theory) avec lesquelles il est difficile de structurer des sessions car les propositions sont encore rares sur la dimension territoriale de la consommation, aussi, il s'agit plutôt de propositions isolées que nous appelons à développer chez les marketeurs.
  

• des communications de l'APERAU (aménagement et urbanisme). En 2017 à Byblos, une session liée à l'imaginaire a permis plusieurs productions scientifiques reliées au marketing territorial. Mais là aussi, les sessions ne se structurent pas de manière centrale sur cet objet de recherche.
  

• des communications de l'AFMAT (tourisme et management) qui chaque année, proposent des sujets proches du marketing territorial sans pour autant utiliser clairement ce terme, des expressions tout à fait intéressantes comme Destination ou Marketing touristique sont à la place utilisés.

• des sessions et plus largement les événements scientifiques de l'IPM dans leur ensemble (Symposiums annuels de corfou, colloques de Bogota, Stockholm, Beijing, Poznan...) pour le principal réseau international de chercheurs sur les thématiques du place branding, du place management et du place marketing. Ce sont là les principaux événements scientifiques, liés au marketing des territoires mais la production en anglais limite la diffusion dans la sphère francophone.
  

Il faut donc comprendre qu'un champ resséré comme le marketing territorial n'a pas vocation à devenir un champ de recherche francophone à part entière. L'idée est, au sein de plusieurs fédérations de recherche, de contribuer à la dynamique scientifique, par la focale du marketing territorial ou bien du marketing des territoires. Pour autant, des événements plus ponctuels, indépendants de ces communautés scientifiques, servent aussi à alimenter la revue en traitant spécifiquement du marketing territorial dont son plus vaste thème traité, le marketing des territoires, il s'agit :

>     des Workshops Marketing Territorial, comme celui organisé en 2017 à Corté et qui s'est interréssé aux objectifs stratégiques du marketing des territoires, dans une dialectique entre différenciation et mobilisation.

Bien évidemment, les propositions de contribution scientifiques ne sont pas obligées de passer en amont par ces sessions et tout texte envoyé directement ou en parallèle à la revue Marketing Territorial par courriel est le bienvenu.